Marco LUNDI, une technique...

Marco LUNDI, ancien élève des ateliers de restauration de l’école du Louvres et de la Cathédrale de Chartres, a de multiples facettes. Tour à tour peintre figuratif, impressionniste, surréaliste ou abstrait, il détient une technique ancienne à l'huile et aux pigments, avec laquelle il représente la Polynésie, ses couleurs et ses traditions.
Son travail est surprenant de sensibilité, de couleur et de variété, surmonté d’une note classique avec ses monochromes en terre naturelle. Il est sans contexte le peintre contemporain le plus original et sa technique ancienne à l'huile, aux résines et aux pigments, reste inégalée en Polynésie.

Marco

Marco LUNDI, un parcours...

Né le 25 avril 1960 à Poitiers, Marco LUNDI s’intéresse dès son plus jeune âge au dessin et à la peinture à l’huile. Fils d’artiste peintre, son père l’initie dès 5 ans à ce qui deviendra sa passion : la peinture.

C’est entre 10 et 12 ans qu’il vend ses premières toiles et quitte l’école. Il se consacre à la peinture jusqu’à l’âge de 18 ans et entre à l’école du Louvre (Paris) comme élève en Restauration de Tableaux de Maîtres (1978–1982), puis continue sa formation à la Cathédrale de Chartres jusqu’en 1984. Il expose à Paris à plusieurs reprises et notamment avec le célèbre DELVAUX. Il y rencontre aussi Luc BESSON et lui réalise plusieurs fresques. 

En 1988, il quitte Paris pour la Provence, se retire à la campagne et peint. Il est retenu pour la réalisation des fresques (technique ancienne) dans la Chapelle de Majastre à Bauduen, et fait la connaissance de Bernard BUFFET qui possède une maison à côté. Durant cette période, il expose régulièrement dans l'arrière pays et sur la côte d’azur et obtient différents prix pour ses tableaux. Ses créations sont fouillées, variées, colorées, et surprennent ceux qui les découvrent.

Marco LUNDI, une influence...

1997, Marco quitte la France et découvre la Polynésie sur les traces de Gauguin, avec pigments et pinceaux dans la valise. Dès son arrivée, l’influence Tahitienne apparaît fortement dans ses toiles. Après plusieurs commandes de collectionneurs locaux et internationaux, il se lance enfin, pendant deux ans, dans la préparation d’une grande exposition pour l'an 2000 à Bora Bora. Elle sera très remarquée. Son inspiration locale s’affirme grâce à la découverte des différentes îles où il vit successivement, Tahiti, Moorea puis Bora Bora. Puis ses expositions se succèdent et ses personnages surréalistes sont même repris dans les toiles de certains peintres locaux. Bien que discret, il est contacté régulièrement pour différents projets internationaux, et il est maintenant le peintre incontournable de Bora Bora. 

Fin 2007, il fête 10 ans de création en Polynésie et sa première rétrospective est organisée à Tahiti dans une fameuse galerie du centre de Papeete. Ses huiles, réalisées aussi bien sur papier que sur toile, rencontrent un vif succès.

En Mai 2008, Marco découvre le Discours de Severine SUZUKI, une jeune canadienne de 14 ans, à RIO DE JANEIRO durant une Conference Internationnale. Il est emu par ses mots mais choqué quand il decouvre la date, cette conférence a eu lieu du 3 au 14 juin 1992, et nous sommes en 2008 ! Rien n'a changé ! Il decide alors de créer une exposition en hommage à la nature. Il se donne 1 an pour la préparer et il se lance donc dans une OBSESSION VEGETALE... qu'il présentera à BORA BORA en 2009, à la Galerie Pakalola.  D'ailleurs, depuis fin 2008, cette galerie de Bora Bora située au centre de Vaitape à côté du bureau de Poste (1er ETAGE), propose en exclusivité tout ce qui sort de son atelier. 

Marco LUNDI, un artiste complet...

Force est de constater que Marco Lundi excelle dans plusieurs disciplines. Non content d’explorer les techniques et les influences picturales, il développe en parallèle son art musical. Il découvre ses premières gammes, à l’âge de 18 ans, aux côtés de Mr CONSTANCELLI, le célèbre professeur de chant d’Edith PIAF. 
Ce sera une autre révélation pour Marco car, en plus de manier le pinceau avec brio, dorénavant il voudra toujours un instrument de musique à porter de sa main (trompette, flûte, guitare, ukulélé...), et plus particulièrement un piano. D'ailleurs, il se produit régulièrement dans les plus grands hôtels de Bora Bora. 
Notons enfin son aisance à manier aussi bien une canne à pêche qu’une raquette de tennis... histoire d’honorer les maintenant fameux proverbes : “avoir plusieurs cordes à sa raquette” et “avoir plusieurs poils à son pinceau”.

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